Le livre des records 2014 sort aujourd’hui. Comme chaque année, le Guinness Book a son lot d’insolites parmi les nouveaux entrants. Petit florilège…

Dans la rubrique animalière,

Happie a tiré son épingle du jeu. Cette chèvre a tenu la plus longue distance debout sur un skateboard. Elle a parcouru 36 mètres en 25 secondes.

En matière d’équilibre, Ozzy s’est aussi fait remarquer dans le nouveau livre des records. Ce chien a traversé une corde de 3,5 mètres en 18 secondes et 22 centièmes.

Dans ce Guinness book, on trouve aussi de drôles de collectionneurs.

Le Britannique James Brown est sans doute le plus propre d’entre eux puisqu’il détient exactement 322 modèles d’aspirateurs différents.

Du côté obscur, il y a aussi cet Américain, Steve Sanswett, qui possède quelques 300 000 objets liés à la saga Star Wars.

Bien entendu, cette année encore, on retrouve les incontournables.

La doyenne de l’humanité figure notamment dans la liste des records. Misao Okawa a 115 ans. Elle succède à son compatriote japonais Jiroemon Kimura, décédé en juin à l’âge de 116 ans.

Des exploits les plus fous aux défis les plus saugrenus, des animaux les plus petits aux plus bizarroïdes, des records toujours plus déjantés apparaissent chaque année dans le Guinness book. Le cru 2014 n’échappe pas à la règle.

ledauphine.com

Oeuvre d'un groupe de chercheurs de l'Institut Supérieur Coréen de Science et Technologie, cette petite citadine électrique est capable de se plier, et réduit ainsi sa longueur à seulement 1,65 mètre !

Le tatou automobile ? Développée par des chercheurs du Korea Advanced Institute of Science and Technology (KAIST), en Corée du Sud, cette Armadillo-T n'est pas seulement une petite voiture électrique. Elle possède une caractéristique originale, la possibilité de se plier en deux afin de se garer dans un espace restreint.

Une fois arrêtée et le conducteur sorti, une simple commande par téléphone portable actionne la partie arrière, pivotant vers l'avant et réduisant ainsi la longueur de 2,79 à 1,65 mètre. En conséquence, trois véhicules peuvent stationner sur une place traditionnelle.

Mieux, grâce à ses petites roulettes escamotables, la voiture peut ensuite tourner à 360 degrés pour se loger où bon il semble.

Utilisation citadine seulement En parallèle, l'Armadillo-T pèse seulement 450 kg, possède un petit bloc électrique permettant une vitesse maximale de 60 km/h, et des batteries de 13,6 kWh allouant une autonomie de 100 km, une pure citadine donc.

En revanche, nous nous demandons si cette Armadillo-T est sûre. En cas d'accident, devra-t-on dire que l'on a plié la voiture ? Et pour l'anecdote, "Armadillo" nom espagnol du tatou, désigne le petit mammifère sud-américain possédant une coque dans laquelle il peut se replier.

Source sur MYTF1 

Une baigneuse a découvert un drôle d’animal échoué sur le sable d’une plage d’Almeria, en Espagne. Ce « monstre » des mers, non identifié, avait des allures de monstre du Loch Ness.

Mais quelle est donc cette créature découverte ce jeudi 15 août sur une plage espagnole près d’Almeria, en Andalousie ? C’est une baigneuse qui a découvert ce drôle d’animal de quatre mètres de long, échoué sur le sable, alors qu’elle se trouvait sur la plage de Luis Siret. L’animal, qui était dans un état avancé de décomposition, n’a pas pu être identifié, mais a suscité de nombreux commentaires. Ce « monstre » marin aux allures de dragon aquatique, pourrait facilement passer pour le petit frère de Nessie, le célèbre monstre du Loch Ness.

Le mystère reste entier

Poisson géant ou espèce mutante, le mystère reste cependant entier. Cette créature des mers n’a pas pu être identifiée. L’Association de défense de la faune marine a examiné les clichés pris de l’animal, et pour elle, il ne s’agirait que d’un gros poisson. La bête a néanmoins été enterrée rapidement par les autorités espagnoles pour limiter les risques sanitaires. Les recherches sur l’identité et l’origine de la créature ont été donc limitées. Les rumeurs, elles, vont toujours bon train…

Des ouvrières de l'entreprise Lear, au Honduras, ont affirmé avoir été obligées de porter des couches au travail afin de ne pas perdre de temps en allant aux toilettes. Une information rapportée par le quotidien Hondurio.

Le temps c'est de l'argent. Une société hondurienne de capital américano-coréen, spécialisée dans la fabrication de câbles électriques, aurait fait porter à ses employés des couches pour faire leurs besoins (article en espagnol), rapporte le quotidien Hondurio. Le secrétaire général de la Central General de Trabajadores (CGT), Daniel Durón, a affirmé avoir recueilli le témoignage de plusieurs employés "principalement des femmes".

Selon lui, cette décision aurait été prise pour que les ouvriers "s'urinent dessus pour ne pas aller aux sanitaires" et donc rester en permanence à leur poste de travail. De plus ce n'est pas l'entreprise qui fournit les couches à ses ouvriers, les témoignages révèlent que ces derniers doivent être "prêts à travailler dès leur arrivée", affirme-t-il au quotidien.

Gargamel le cherche toujours, mais nous l'avons trouvé!

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